« [...] c'était le meilleur homme du monde ; il faisait crédit à tout le Parnasse ; et quand on n'avait point d'argent, il était trop payé, trop satisfait et trop content quand seulement d'un petit coup d'oeil on daignait applaudir à ses ouvrages »

jeudi 23 août 2012

Pâtisseries maison

Edelmann, F. (2007). Pâtisseries maison, Marabout, 386 pages.


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